Tout débute en Décembre 2000, quand Charles Galvin annonce avoir obtenu l’implantation de l’entreprise Teletech sur le plateau Mathésin. Les conditions sine qua non imposées par l’entrepreneur sont honteuses: l’implantation ne doit rien coûter à l’entreprise et le terrain choisi doit être celui d’un de ses amis…..C’est donc à la mairie de St Théoffrey (lieu choisi) de se porter acquéreur du terrain.
Le propriétaire-ami en profite alors pour demander à la mairie de St Théoffrey de payer le prix fort pour avoir son terrain: 2134286 euros pour 23000m2 dont 1/3 sont constructibles, alors que ce même terrain est estimé 272000 euros par les domaines. La mairie de St Théoffrey obtempère alors sous la demande pressante de Charles Galvin, qui annonce avoir obtenu une participation financière importante du Conseil Général de l’Isère.
Cependant, le premier revers intervient quand l’entreprise choisit de ne s’installer que sur 15000m2 (partie non constructible). Elle reverse alors à la mairie de St Théoffrey le prorata du prix des domaines, c’est à dire 50000 euros.
A ce stade, il est intéressant de noter que la mairie de St Théoffrey se retrouve propriétaire d’ un terrain de 8000m2 acheté 2084286 euros soit 28 fois plus cher que l’estimation des domaines.
Nouveau revers: en 2003 Teletech se désengage complètement et annonce qu’elle ne viendra finalement pas s’installer sur le plateau mathésin. Tous les politiques le savent, y compris Charles Galvin qui se trouve alors en pleine campagne électorale et qui annonce tout au long de sa campagne qu’il a réussi à faire venir Teletech. Il parvient de fait à sauver sa place de conseiller général.
Suite à la non venue de Teletech, le Conseil Général de l’Isère se désengage totalement au niveau financier: la mairie de St Théoffrey doit donc supporter le coût de cette erreur toute seule.
Fin 2005, les habitants découvrent ainsi des impôts locaux en augmentation de 770%.
Des collectifs d’habitants s’organisent etc’est à ce moment qu’intervient Didier Migaud. Son intervention n’est pas le fruit du hasard: Charles Galvin est son député suppléant…..Il craint donc que ce faux pas de son suppléant ne lui soit préjudiciable. Didier Migaud va alors user de tous les stratèges pour sauver sa place, quitte à faire payer tous les habitants de l’agglomération grenobloise.
C’est ainsi qu’entre en jeu l’EPFL (Etablissement Public Foncier Local) dont Didier Migaud est le président. Rappellons que cet organisme dépendant financièrement de la Métro (dont Didier Migaud est aussi président….toujours le même…) a été crée dans le but d’aider les communes de l’agglomération grenobloise à construire des logements sociaux.
St Théoffrey fut donc contrainte d’adhérer à l’EPFL: nous pouvons à ce stade nous étonner que St Théoffrey soit considérée comme une commune de l’agglomération grenobloise alors que sa voisine La Mure n’en fait pas partie…..
Didier Migaud demande même personnellement aux collectifs d’habitants de le laisser gérer le problème et de ne surtout pas intenter d’action en justice…..
St Théoffrey serait donc sauve, mais à quel prix?!!! Les habitants de l’agglomération grenobloise doivent maintenant savoir que leurs impôts locaux vont servir pendant de nombreuses années au remboursement de délits d’initiés…et d’erreur de gestion à des fins électoralistes. Quant aux habitants de St Théoffrey, ils vont maintenant tout de même devoir payer leur cotisation à un orgaanisme (l’EPFL) dont le but est de construire des logements sociaux dans l’agglomération grenobloise. Quelle gestion dramatique à la petite semaine….
Il est vraiment temps de mettre fin à ses pratiques honteuses pour notre démocratie.
Tout débute en Décembre 2000, quand Charles Galvin annonce avoir obtenu l’implantation de l’entreprise Teletech sur le plateau Mathésin. Les conditions sine qua non imposées par l’entrepreneur sont honteuses: l’implantation ne doit rien coûter à l’entreprise et le terrain choisi doit être celui d’un de ses amis…..C’est donc à la mairie de St Théoffrey (lieu choisi) de se porter acquéreur du terrain.
Le propriétaire-ami en profite alors pour demander à la mairie de St Théoffrey de payer le prix fort pour avoir son terrain: 2134286 euros pour 23000m2 dont 1/3 sont constructibles, alors que ce même terrain est estimé 272000 euros par les domaines. La mairie de St Théoffrey obtempère alors sous la demande pressante de Charles Galvin, qui annonce avoir obtenu une participation financière importante du Conseil Général de l’Isère.
Cependant, le premier revers intervient quand l’entreprise choisit de ne s’installer que sur 15000m2 (partie non constructible). Elle reverse alors à la mairie de St Théoffrey le prorata du prix des domaines, c’est à dire 50000 euros.
A ce stade, il est intéressant de noter que la mairie de St Théoffrey se retrouve propriétaire d’ un terrain de 8000m2 acheté 2084286 euros soit 28 fois plus cher que l’estimation des domaines.
Nouveau revers: en 2003 Teletech se désengage complètement et annonce qu’elle ne viendra finalement pas s’installer sur le plateau mathésin. Tous les politiques le savent, y compris Charles Galvin qui se trouve alors en pleine campagne électorale et qui annonce tout au long de sa campagne qu’il a réussi à faire venir Teletech. Il parvient de fait à sauver sa place de conseiller général.
Suite à la non venue de Teletech, le Conseil Général de l’Isère se désengage totalement au niveau financier: la mairie de St Théoffrey doit donc supporter le coût de cette erreur toute seule.
Fin 2005, les habitants découvrent ainsi des impôts locaux en augmentation de 770%.
Des collectifs d’habitants s’organisent etc’est à ce moment qu’intervient Didier Migaud. Son intervention n’est pas le fruit du hasard: Charles Galvin est son député suppléant…..Il craint donc que ce faux pas de son suppléant ne lui soit préjudiciable. Didier Migaud va alors user de tous les stratèges pour sauver sa place, quitte à faire payer tous les habitants de l’agglomération grenobloise.
C’est ainsi qu’entre en jeu l’EPFL (Etablissement Public Foncier Local) dont Didier Migaud est le président. Rappellons que cet organisme dépendant financièrement de la Métro (dont Didier Migaud est aussi président….toujours le même…) a été crée dans le but d’aider les communes de l’agglomération grenobloise à construire des logements sociaux.
St Théoffrey fut donc contrainte d’adhérer à l’EPFL: nous pouvons à ce stade nous étonner que St Théoffrey soit considérée comme une commune de l’agglomération grenobloise alors que sa voisine La Mure n’en fait pas partie…..
Didier Migaud demande même personnellement aux collectifs d’habitants de le laisser gérer le problème et de ne surtout pas intenter d’action en justice…..
St Théoffrey serait donc sauve, mais à quel prix?!!! Les habitants de l’agglomération grenobloise doivent maintenant savoir que leurs impôts locaux vont servir pendant de nombreuses années au remboursement de délits d’initiés…et d’erreur de gestion à des fins électoralistes. Quant aux habitants de St Théoffrey, ils vont maintenant tout de même devoir payer leur cotisation à un orgaanisme (l’EPFL) dont le but est de construire des logements sociaux dans l’agglomération grenobloise. Quelle gestion dramatique à la petite semaine….
Il est vraiment temps de mettre fin à ses pratiques honteuses pour notre démocratie.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.